En ce jour triste du 13 décembre 2024, le monde de la musique perd une figure emblématique, une âme vibrante, une voix qui résonnait bien au-delà des frontières et une militante engagée de la Justice Sociale. Koko Ateba, l’artiste camerounaise qui a su marier son talent à une énergie unique, nous a quittés à l’hôpital Foch à Paris, terrassée par une maladie.

Elle laisse derrière elle un vide immense et une empreinte indélébile dans l’histoire de la musique afro-camerounaise et mondiale.

D'origine betie, née et grandie à Douala dans une terre riche de culture, Koko Ateba avait fait son chemin pour devenir une figure internationalement connue de la scène musicale. Virtuose de la guitare acoustique, avec sa voix et son style caractéristiques empreint de modestie et de perséverance, portée par un talent inégalé, elle a su transcender les genres et les générations. Connue pour ses chansons engagées et empreintes de poésie, elle était bien plus qu’une chanteuse : une conteuse d’histoires, une messagère de paix et une militante pour la culture et les droits de l’Homme.

Sa chanson Nelson Mandela fut une contribution forte à la lutte contre l'Apartheid et pour la Libération de l'Afrique alors qu'elle était une jeune artiste au début de sa carrière.

La police française a arreté mardi 12 novembre 2024 à Lyon un ressortissant camerounais, suspecté de meurtres et d’agressions violentes ciblant spécifiquement des personnes sans domicile fixe (SDF) en France et aux Pays-Bas. L'individu, âgé d'une trentaine d'année et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), utilisait un mode opératoire particulièrement violent, jetant un parpaing sur la tête de ses victimes pendant leur sommeil, causant des blessures graves et, dans certains cas, la mort.  

Plusieurs cameras de vidéos surveillance en France et en Hollande ont filmé le suspect, qui s'appelerait Levis E. selon la presse française et que certains journaux on baptisé le "tueur en série au parpaing", en train d'écraser la tête de ses victimes à coup de parpaings alors que celles-ci semblaient endormies. Au total l'homme est suspecté de 4 homicides en France, une tentative d'homicide au pays-bas et plusieurs agressions.   

Dans son dernier ouvrage, Les leçons de l'Amérique. Nation et puissance, Rama Yade propose une plongée dans les fondements et les paradoxes de la puissance américaine. À travers cette analyse, l'ancienne secrétaire d’État française interroge l'impact de la culture politique et de la vision du monde des États-Unis sur le reste de la planète, et explore ce que la France et les autres nations peuvent tirer de cette superpuissance souvent controversée.

« A Dieu nous appartenons et vers Lui nous retournerons C'est Lui l'auteur de nos vies il nous en fait cadeau quand il le décide et Il récupère squand il le décrète [...] Il a assigné à toute âme un terme et quand leur heure personne ne peut repousser l'échéance " (Coran, Sourate 7, Verset 34)  » Quincy Jones est mort, mais ses oeuvres artistques et ses traces sociales sont immortelles.

C’est avec une immense tristesse que le Monde entier dit adieu à Quincy Jones, le baobab de la musique, qui s’est éteint à l’âge de 91 ans. Compositeur, producteur, chef d'orchestre, et visionnaire, Quincy Jones a non seulement façonné la musique contemporaine, mais il a aussi été un ardent défenseur des droits civiques et un pionnier de la diversité dans l'industrie musicale américaine. Pour les amateurs de musique, son nom évoque immédiatement des chefs-d’œuvre comme Thriller et BAD de Michael Jackson, des albums qui ont redéfini la pop mondiale et inscrit son nom parmi les immortels de l’industrie musicale.